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Limago dans l’émission TV du Figaro

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Dans le cadre de l’émission TV du Figaro “Itinéraire entreprise”, Olivier Foix et Charles Bréant, les cofondateurs de LIMAGO, ont présenté leur solution qui aide les propriétaires défaillants face à leurs dettes.

Retrouvez l’article du Figaro dédiée au concept Limago. https://www.lefigaro.fr/economie/limago-transforme-votre-dette-immobiliere-en-capital-20230418

Retranscription de la vidéo

[00:00:07.020] – Présentatrice

Bienvenue dans une nouvelle émission itinéraire entreprise diffusée sur lefigaro. Fr. Aujourd’hui, un nouvel itinéraire d’entreprise que nous allons découvrir, c’est lui de Limago, deux des six cofondateurs de l’entreprise sont avec nous en plateau. Bonjour messieurs. D’abord, Charles Bréhan, vous êtes responsable finances de Limago. Et puis, Olivier Foy, vous êtes expert immobilier. D’abord, une explication de texte sur le nom Limago.

[00:00:34.580] – Charles Bréant

Limago, c’est assez simple. C’est un petit peu la transformation puisqu’on transforme les dettes en capital. Tout comme vous avez la chenille qui devient chrysalide et papillon, le terme Limago, c’est la transformation biologique d’une cellule en une autre. Donc, transformez vos dettes en capital.

[00:00:50.170] – Présentatrice

En capital. Justement, votre concept, revendre le bien d’une personne qui ne peut plus assumer son crédit, c’est du sauvetage, de l’aide de la bienveillance. Vous, comment est-ce que vous décrivez ce concept ?

[00:01:00.450] – Olivier Foix

C’est un petit peu tout à la fois dans le sens où aujourd’hui, avant de le revendre d’ailleurs le bien, on l’achète. On l’achète, pourquoi ? Parce que la personne est en défaillance, défaillance de crédits et avec les difficultés qui vont avec. Et on vient acheter le bien immobilier. Bienveillance dans le sens où on vient acheter le bien immobilier un peu plus cher que ce qui va être fait aux enchères, un peu moins que sa valeur parce qu’il va falloir qu’on le revende dans des conditions correctes. Et on accompagne beaucoup nos clients dans la démarche de saisie qui fait qu’effectivement, on vient les aider dans toutes ces démarches. L’idée, c’est vraiment d’être proche d’eux, proche de leurs problèmes et d’aller sauver le bien immobilier et les difficultés financières.

[00:01:49.180] – Présentatrice

Ça vient d’où ce concept ? D’où vous est venue l’idée ?

[00:01:52.310] – Olivier Foix

On est tous des cinquantenaires. On est six cofondateurs. On a tous vécu quelques scènes plus ou moins faciles. Et avec l’ensemble et en ayant des parcours qui sont un peu complémentaires, avec une culture différente à la fois en entreprise et en termes d’individus. On s’est tous rassemblés pour se dire qu’est ce qu’on peut faire aujourd’hui dans un contexte où effectivement, malheureusement, le contexte est un peu plus compliqué qu’avant. Et on s’est tous dit comment on peut faire pour aider, finalement, en cas de difficulté, les personnes qui s’y trouvent. Cette association, on va dire, c’est une association de compétences qui nous permet effectivement d’avoir mis au point tout le concept.

[00:02:44.760] – Présentatrice

Est ce que vous avez fait évoluer, justement, les pratiques au fur et à mesure des expériences que vous avez eues ?

[00:02:51.290] – Olivier Foix

Oui, de fait, puisque le concept est complètement nouveau. Quand on dit nouveau, on découvre plein de choses. Effectivement, il a évolué dans le sens où on est venu s’adapter beaucoup à la cible. Certains des propriétaires défaillants sont dans des situations où finalement, le seul moyen de les sortir, c’est de racheter leurs biens. D’autres souhaitent rester dans leurs biens et donc il faut qu’on trouve des solutions financières pour pouvoir les sortir d’un fichage et ensuite qu’ils puissent racheter leurs propres biens. Donc on les aide finalement financièrement. Le nerf de la guerre étant l’argent, on vient les aider sur ce qui pose problème au moment d’une saisie.

[00:03:36.020] – Présentatrice

Finalement, il y a plein de situations possibles, effectivement, où vous pouvez intervenir à n’importe quel moment, d’ailleurs même juste avant la saisie.

[00:03:44.980] – Olivier Foix

Oui, tout à fait. On a cette capacité à aller chercher le propriétaire en difficulté à n’importe quel moment de la procédure, jusqu’à effectivement, quelques quelques jours des enchères, puisque encore une fois, le nerf de la guerre, c’est l’argent.

[00:04:05.640] – Présentatrice

Oui, l’argent, justement, on va revenir avec vous, Charles, parce que vous vous occupez aussi des finances. Il faut racheter les biens. Ça veut dire que vous récoltez aussi des fonds et qu’on peut en investir chez vous ? Comment ça se passe ?

[00:04:17.040] – Charles Bréant

Tout à fait. C’est vrai que dans ce concept que vient d’évoquer Olivier, on fait tout pour éviter une vente aux enchères qui ne satisfait personne, puisque le bien peut être vendu et il peut rester une créance et la personne n’a plus son bien. Donc effectivement, il faut bien les acheter, donc à un moment, il faut de l’argent. On l’achète avec nos fonds propres, mais nous avons également créé une obligation.

[00:04:37.530] – Présentatrice

Une dette.

[00:04:38.480] – Charles Bréant

Exactement. Cette obligation, pour rentrer un petit peu dans les termes techniques, à qui s’adresse t elle ? Elle s’adresse à tout le monde, personne physique et morale, sous réserve, bien sûr, que ça rentre dans une diversification du patrimoine, que la personne n’ait pas besoin de cet argent.

[00:04:55.960] – Présentatrice

Oui, ne pas mettre tous ses yeux dans le même panier.

[00:04:59.030] – Charles Bréant

Exactement. Donc, en fait, on a un coupon, c’est comme ça que s’appelle le rendement pour une obligation, de 8 % l’an. L’argent est bloqué 24 mois. Et tout est fait avec un cabinet d’avocat de Lyon puisqu’on est de droit français avec une fiscalité française.

[00:05:16.850] – Présentatrice

Ça, c’est pour le produit financier que vous avez mis en place. Est-ce que c’est risqué ? On sait qu’une obligation, c’est quand même moins risqué que certaines classes d’actifs, mais quel risque ? Vous nous avez parlé du rendement, mais le risque ?

[00:05:28.300] – Charles Bréant

C’est une excellente question. Je vous remercie. C’est vrai que dans tout placement, il y a un risque. Sauf que là, le risque est quand même minoré puisqu’on est face à de l’immobilier et que la qualité des dossiers va nous permettre, quand ils sont éligibles, à se dire que le risque est minoré puisqu’on a un bien immobilier qui reste quand même une valeur sûre. Donc, effectivement, on n’est pas sur de la cryptomonnaie ou des choses fluctuantes, ni en train de faire du trading. On a effectivement des particuliers qui vont venir au secours des particuliers en difficulté, qui parfois sont bien démunis pour trouver une solution, pour solder leurs créances, avoir un budget, pour rebondir également sur leurs projets. Ça, c’est important et c’est le but de LIMAGO.

[00:06:09.700] – Présentatrice

Oui, c’est la finance, finalement, Impact, la finance de la bienveillance, mais il faut quand même sélectionner les dossiers qui peuvent aboutir. Comment est-ce que vous opérez, justement, cette sélection ?

[00:06:22.360] – Charles Bréant

Justement, c’est Olivier qui va vous répondre en tant qu’expert immobilier. Moi, je suis là pour que les fonds soient disponibles. C’est à toi, Olivier.

[00:06:30.430] – Olivier Foix

Les sélections, finalement, aujourd’hui, on va chercher nos premiers interlocuteurs, ce sont les propriétaires qui sont dans la difficulté.

[00:06:40.390] – Présentatrice

C’est eux qui font appel à vous ? 

[00:06:41.500] – Olivier Foix

Tout à fait. Ils viennent nous solliciter au moment de la saisie et finalement, à n’importe quel moment de la saisie, en disant « Est ce que vous avez une solution ? » La réponse est toujours « Oui, on a des solutions. » L’idée, c’est de quantifier le bien immobilier, d’où notre présence en tant qu’expert, finalement, immobilier. On vient quantifier le bien immobilier pour pouvoir sauver le propriétaire au moment où il nous le demande. L’idée aussi, aujourd’hui, on sait que les banques ont des nécessités de vouloir récupérer leurs fonds propres. Autant un propriétaire peut prendre contact directement, autant, évidemment, une banque ne peut pas le faire.

[00:07:26.410] – Présentatrice

Il y a tout intérêt à le faire et ça, il faut effectivement le faire comprendre aux banquiers, aux huissiers aussi, à tout l’écosystème.

[00:07:34.050] – Olivier Foix

Bien sûr, puisqu’en plus, on met en place, nous, un système qui nous permet, comme de toute façon, on arrive en amont de la saisie, on a cette possibilité de pouvoir à la fois quantifier, éventuellement sur-quantifier, pour pouvoir régler tous les frais qu’il y a autour, et notamment les avocats et toutes ces notions juridiques, finalement, ou la procédure juridique qui n’est pas toujours payée que si elle va en fin de parcours. On a besoin aujourd’hui de dire aux gens qui composent la saisie immobilière qu’on a des solutions peut être en amont et qui évitent toute la procédure qui va avec et l’année où la procédure dure.

[00:08:27.730] – Présentatrice

Est ce que vous avez de belles histoires de sauvetage à nous raconter, à partager ?

[00:08:34.220] – Olivier Foix

Oui, je vais laisser Charles en parler parce qu’on a eu un petit commentaire récent qui nous a fait beaucoup plaisir.

[00:08:42.510] – Présentatrice

Ça vous fait chaud au cœur, j’imagine.

[00:08:43.940] – Charles Bréant

On a effectivement un témoignage d’un des premiers dossiers que nous avons fait de bout en bout. Je vais quand même garder l’anonymat de la personne. On dira Madame C. Je vous remercie encore une fois de m’avoir sauvé de la situation catastrophique dans laquelle j’étais. Non seulement vous m’avez rassuré, mais vous m’avez aidé à avoir un nouveau départ. Vous m’avez laissé le temps nécessaire pour y parvenir. Merci de votre compréhension et de votre sympathie. Effectivement, pour une fois que je dirais que l’immobilier, la finance vient au secours des gens défaillants, oui, ça fait chaud au cœur et je trouve que notre concept est plutôt pas mal de ce côté-là. Donc, transformer les dettes en capital, c’est l’imago et c’est son but.