Banque et saisie immobilière

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Déchéance du terme, commandement de payer et saisie immobilière : et si les banques ouvraient une autre voie ?

La procédure de saisie immobilière est un engrenage lourd, long, et coûteux. Pour les propriétaires défaillants, elle rime souvent avec angoisse, perte de repères, et solitude. Pour les établissements bancaires, elle engendre des dossiers contentieux complexes, des délais à rallonge, et une dégradation durable de la relation client. Pourtant, entre l’impayé et la vente forcée, des solutions intermédiaires existent.

Chez Limago, nous rencontrons chaque jour des propriétaires en détresse, engagés dans une procédure de déchéance du terme. Tout commence par une mise en demeure. Puis une deuxième. Puis une troisième. Si aucun accord n’est trouvé, vient le commandement de payer valant saisie. La machine judiciaire est alors en marche, souvent pour près d’un an, avec son lot d’expertises, d’audiences, de frais… et d’espoirs brisés.

Mais faut-il vraiment en arriver là ?

Nous pensons que non.

Les banques, en tant qu’acteurs économiques responsables, ont tout intérêt à reconsidérer leur approche dans la gestion des prêts immobiliers impayés. Chaque contentieux devient un actif non productif, immobilise des ressources internes, et détériore une relation client souvent précieuse jusqu’alors.

À l’heure où l’image d’un accompagnement bancaire humain est plus que jamais valorisée, Limago propose un nouveau cadre d’intervention. Une alternative amiable à la saisie immobilière, hors réméré, hors procédures judiciaires lourdes, mais dans le respect des garanties de la banque.

Notre méthode repose sur trois piliers :
• Anticiper le risque avant le commandement de payer ;
• Proposer un portage immobilier encadré, permettant au client de rester dans son bien ;
• Rembourser la banque rapidement, tout en travaillant à un plan de sortie viable pour le propriétaire.

Cette approche évite :
• La vente forcée aux enchères, souvent destructrice de valeur pour tous ;
• Les longs délais d’exécution (jusqu’à 18 mois pour une procédure complète) ;
• Les frais irrecouvrables, qui viennent parfois plomber la rentabilité du recouvrement.

Pourquoi ne pas orienter le client défaillant vers une solution de portage dès la première mise en demeure ? Pourquoi ne pas envisager, en partenariat, une voie de sortie humaine et efficace ?

Pourquoi laisser le contentieux polluer la relation, quand une solution existe pour préserver le bien du client et les intérêts de la banque ?
Limago agit en tant que médiateur opérationnel : nous analysons chaque situation, évaluons la faisabilité du portage, et intervenons dans des délais rapides pour sauver le bien, apurer la dette, et restaurer la confiance.

Pour les banques, c’est l’assurance d’un recouvrement rapide, sans procédure judiciaire. Pour les clients, c’est la chance d’un second souffle, sans l’humiliation d’une expulsion ni la violence d’une vente judiciaire.

Conclusion :
Dans un contexte où l’immobilier reste un marqueur fort de stabilité personnelle et financière, l’enjeu n’est plus seulement juridique. Il est relationnel, humain, stratégique. Et c’est là que Limago, aux côtés des banques et des emprunteurs, propose une autre voie. Plus rapide. Moins coûteuse. Plus digne.

Banques et Saisie Immobilière

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